vendredi 27 juin 2008



Posted by Publié par Soulmate à 11:11
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SPLEEN : Un Souffle nouveau dans le paysage musical francais

Il est français,chante-parfois- en anglais, il est charmant et surtout un tantinet décalé. Vous l’aurez reconnu, on parle bien entendu de Spleen. Si vous ne le connaissez pas encore, filer vous rattraper en découvrant ses compositions.Après She Was a Girl sortit en 2005, son second album, Comme un enfant, très attendu, sortira le 25 août prochain.

En attendant, focus sur cette jeune révélation parisienne que l’on a pour la plupart d' entre nous (re)découvert sur Myspace .

Un Ovni dans le paysage musical français

Quand j’ai tapé Spleen sur un moteur de recherche pour mieux cerner le personnage,j’ai eu droit à des synonymes : Morbide, mélancolie, ennui profond. Certes. Bon normal,Pascal de son vrai nom à choisi son nom de scène en clin d' œil à Baudelaire. Il n’est pas pour autant question de dépression dans sa musique, rassurons nous.

Spleen mêle avec ingéniosité Folk, Hip Hop, Afrobeat et un brun d’électro oscillant entre poésie et spokenword tout en flirtant avec le rap, son premier amour.Avec ça, n’allez surtout pas dire qu'il ressemble à quelqu' un d’autre ! Avec un brin de folie, des paroles frivoles mais réfléchies, et une attitude théâtrale,mettons nous d'accord, spleen est unique.

Originaire du Cameroun,grandit en France, on ne peut pas dire que ses inspirations manquent de couleurs. Entre sonorités Africaines, culture française Rock, scène Soul et artistes folks, ses aspirations musicales n’ont pas de limites et transcendent les genres.

Les artistes qui l’ont influencé et dont il s’est inspiré? En majeure partie Prince et James Brown pour le côté Funk exubérant, The Roots pour la teinte Hip Hop etBlack Music, Keziah Jones pour la formule folk/acoustique et Tom Waits pour l’électro/Rock expérimentale.Bref, que du beau monde.

She Was a Girl : La révelation

Comme venu d’une autre époque, Spleen se distingue et apporte une brise nouvelle à la scène musicale française. Ce qui fait sa différence ? Cette liberté de détournement des genres, et le brassage musical osé qu’il fait dans sa musique.La recette est simple : Des mots, des beats, des instrus soignés et efficaces pour un résultat esthétique.

Loin de débarquer, Spleen n’en est pas à ses débuts dans la musique. Son éclectisme lui a donné l’occasion de participer à de nombreux projets musicaux en France.Il a débuté en terminant grand lauréat de la troisième édition du concours CQFD organisé par les Inrockuptibles suite auquel, il a mis en route la composition de son premier album.

She Was a Girl sort donc en 2005, et on y découvre un personnage déjanté s’accompagnant tour à tour de sa guitare, ou de sa seule voix en guise d’instrument, semant un joyeux foutoir. Le concept ? Du Rap- parlé. Ne cherchez pas à comprendre. Savourez.

De Black & White Skins à Magic Mushroom, de nombreux projets

Poète,auteur, compositeur,interprète et parfois même comédien, - il a joué dans une pièce d’ Irina Brook quand il avait 18 ans et a incarné Basquiat au théâtre– ilne se laisse pas chômer. Il fonde en 2005 le collectif Black & White Skins,qui regroupe de nombreux artistes aux influences plurielles, unité de production et grande famille avant tout. S’enchaîne alors pour lui de nombreuses formations, tel que Heez Bus, groupe au sein du quel il rappe, Zero Watt,Section urbaine ou encore Magic Mushroom, formation Pop Rock tant loufoque que professionnelle. Le premier volume de l’unité Black & white Skins sort également la même année, compile dans laquelle on retrouve entre autre le duo New Yorkais Coco Rosie, Hugh Coltman ou encore Zahra Hindi.

Et Maintenant ?

Comme un enfant, sera dans les bacs à la fin de l’été et on peut d’or et déjà écouter des extraits de l’album sur la page Myspace de Spleen. On y découvre Tu l’aimeras, qui donne lieu à un clip vidéo des plus original, Helena ou encore le saisissant Amour. L’album s’annonce donc frais, chargé en mélodies tantôt estivales, tantôt mélancoliques, toujours vagabondes. Textures électro, spokenword et Hip Hop seront donc à l’honneur,le tout dans une structure non conforme où amour et sentiments occupent une place privilégiée.

Entretemps, on a pu voir l’artiste se produire sur scène puisque on a eu l’occasion d’ apprécier les performances de Spleen à la flèche d’Or, se produisant avec d’autres artistes invités.

On l’a ainsi retrouvé aux côtés de Keziah Jones, Yael Naim, Gael et Rosie de CocoRosie et ses autres amis du collectif Black & Whites Skins, pour une série de concerts riches et exceptionnels. Le Spleen s’est avéré être une boule débordante d’énergie et un véritable showman qui n’hésite pas à mouiller sa chemise.
Vivement l’album...

Myspace de Spleen

Article original

Posted by Publié par Soulmate à 03:25
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samedi 21 juin 2008


SEAN HAEFELI

Je désespérais depuis un moment de ne trouver de remplaçants aux grands du Jazz qu’ont connus nos parents tels que Count Basie, Coltrane, GSH. Mais bien heureusement cette année a été marquée par de bonnes surprises, voir d’excellentes - des artistes qui touchent et qui, à leurs écoutes, me garantissent un sourire hébété de satisfaction.

Sean Haefeli, c’est mon coup de cœur. Un timbre, une classe, un phrasé distingué, voila qui a tout pour me plaire.

Sean incarne le Jazz et y incorpore des mouvances urbaines et contemporaines, notamment le Hip Hop définitivement présente dans sa musique. Du jazz vocal ou se mêle avec un lyrisme touchant et réfléchi, pianos, violons, saxophones, Bass, textures électro et instruments en tout genre.

Une musique dans la tradition du jazz et tellement moderne à la fois. J’ai pas mal parlé de José James comme découverte de Jazz et je suis convaincue que Sean Haefeli à de l’avenir, même si ce n’est peut être pas pour l’immédiat. Il m’a accordé une interview, mais en attendant, je vous propose de le découvrir un peu.

Ancien mannequin, pianiste de formation, ex- étudiant en poésie et littérature anglaise, Sean s’est initié dans le jazz d’improvisation. Basé à Chicago, Sean n’est pas très connu en France, mais a pourtant déjà à ses actifs deux albums très réussis. Entre une mère vocaliste et un père trompettiste pour Sinatra ou encore Bill Chase, c’est tout naturellement que l’évidence du Jazz s’est imposé dans ces deux albums. Le premier, Naturel Hanger, est sortit en 2004. Un album simple à la convergence des genres, fusionnant l’art du Spoken, de la Soul, du Jazz et du Hip Hop, qui se distingue d’originalité. Passionné avant tout, il est de ceux qui croient aux pouvoirs des mots contre les maux.

Politique, Société, Economie et culture sont abordés aux abords d’une musique sincère et agréable. Adepte du Bouddhisme, c’est peut être cette pratique qui lui confère cette attitude posé et réfléchie si débordante de sérénité.

Une musique organique qui stimule l’esprit et invoque les sens, le tout dans une structure non conforme, voilà qui décrit la première réalisation de Sean. Une douzaine de titres tout autant savoureux les uns que les autres, un ensemble cohérent et homogène.
L’ambiance est jazzy, le ton est feutrée et riche en instruments. J'aime.

Sublimé par une voix tour à tour chaude, puissante, délicate et réconfortante on y découvre d’ excellents extraits, tel que Bedroom Window, qui ouvre l’ album, Blur ou encore l’ haletant Atmosphere . Quand il chante Guess I Was Suppose to Love You , on se laisserait presque à penser que c'est à notre oreille qu’il susurre ces quelques mots…Une simplicité rare et unique.

Balance demeure à mon gout le meilleur moment de l’album, à la réunion du Jazz et du Hip Hop, la cohésion est évidente et du meilleur effett.

Sound Stragery est un EP de quatre titres, sortit deux ans plus tard qui vient préciser le talent, en raccordant Jazz et musique électronique, et par ci par la quelques sonorités rythmés façon Hip Hop.

La musique de Sean Haefeli transpire d’humilité et de simplicité, infusant tour à tour tonalité Jazzy avec l’âme de la Soul, du Hip Hop, textures électro et beaucoup de charme. Il repousse d’une oreille neuve et surprenante, les habituelles frontières et contraintes entre Jazz et Hip Hop nous transporte dans ce que la musique a de plus précieux à nous offrir. J' en ai trop dit, à vous de savourez.

Atmosphere

" Meditate without the breeze and still I’m floating on air
Breathe in the atmosphere of a rarefied groove
The blue mood uses serious sound frequencies
Pitched with the ontology of your enlightenment
Know what it meant to be a slave, know what it means to be free
Know what it means to take life seriously

Buddha mind walks the breeze Time breathes like air Perceptions cut the atmosphere into a 3-headed groove Hips move to the physical sound frequencies Pitched with the ontology of your enlightenment Taught the fear of a slave, felt the passion to be free In her words, you could never take life too seriously "

http://www.seanhaefeli.com

+ Concerts :

10 Juillet, 2008
Cafe Universel
Paris, France

23 Juillet, 2008
Cafe Universel
Paris, France

18 Juillet, 2008
Swan Bar
Paris, France

Posted by Publié par Soulmate à 11:59
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dimanche 1 juin 2008





Si mes premières impressions étaient mitigées au début, après plusieurs écoute, je peux assurer que ce second album est tout autant -voir meilleur que le précédent, déja excellent. Tous les titres présents sont bons à écouter, pleins de sens et travaillés. Avec Autant de diversité que de morceaux, No Longer At Ease est un bouillon de cultures, de genres, de pensées...Et c 'est peut etre ça la recette !

Death : Nneka ne mâche pas ses mots et le fait savoir dès le début. Le titre de ce premier extrait est fort, frappant et évocateur. Dans les contrées du Trip Hop, Nneka parle de « sa propre mort » dans le sens spirituel du terme. Elle y décrit en effet un temps de latence pendant laquelle elle se met entre parenthèse, se prive de certaines choses qu’elle juge inutiles et superflues et se gave de connaissances, nécessaires à une certaine mise en condition qu'elle s’impose pour composer.

Heartbeat : Tourné vers l’Afrique, comme la plupart des morceaux qu’a composés Nneka dans cet album, Heartbeat, premier single de No Longer At Ease est une merveille à l’état brut. Rythmes saccadés associés aux battements du cœur, Heartbeat est un mélange de sonorités Hip Hop, Reggae et électro dans lequel Nneka dévoile que son cœur bat inlassablement pour la terre d’Afrique, berceau de ses ancêtres et du monde.

Mind Vs Heart: Pas besoin d’épiloguer longuement pour décrire la musique et les messages à profusion qui découlent de cet album. La vie est faite d’oppositions, de choix dépourvus de sens, et il est souvent difficile de trancher entre ce que nous dicte notre cœur, la bienséance et les nombreux codes que nous impose la société. Le choix est souvent dur à prendre et c’est ce que nous explicite Nneka dans ce très bon morceau uptempo qui jongle entre l’art du Spoken et la Soul, et une fois de plus les percussions électro.

Suffri : La souffrance est le quotidien de nombreux pays d’Afrique noyés par la pauvreté, la corruption, l’inefficacité des politiciens et c'est humblement que Nneka rend hommage à ces gens qui souffrent en tentant de décrire leurs ressentiments à travers Suffri, dans un ton très Trip Hop et dans un anglais dérivé comme celui pratiqué dans les pays anglophones d’Afrique de l’Ouest où elle a grandi. Le résultat est authentique et la mélodie entraînante détonne comme un véritable coup de poing.

Come With Me : Très simplement et harmonieusement se mêlent guitare folk et percussions africaines sur ce morceau acoustique. La mélodie vient y appuyer et mettre en valeur les mots justes de Nneka, dans un morceau où elle rend hommage à son père et décrit l’importance de savoir d' où on vient pour savoir ou se diriger.

Gypsy: Avec cette mélodie désordonnée et sombre, accompagné de sonorités électro sur un phrasé profondément Hip Hop, Nneka étonne d’innovation. « Free Your Mind », proclame t- elle comme le proclamait Bob Marley dans Redemption Song il y a plusieurs années, Gypsy est un titre engagé dans lequel Nneka dénonce la pensée de masse et clame l’autoréflexion. Elle s’y décrit, comme une femme du voyage, instable, toujours en route, en quête de quelques choses de mieux comme le reste de ses compatriotes ;situation qui entache la possibilité de construire car le fait d’ être toujours en mouvement empêche de se stabiliser et de se bâtir un avenir, en analogie avec les politiciens Africains.

Halfcast: Ce morceau est un remix de Warrior présent sur son premier album, Victim Of Thruth.
On réservait jusqu’ alors le Hip Hop aux hommes tandis que Nneka saute le pas et détonne de dextérité. Même les plus réfractaires aux Hip Hop n’en pourront être que séduits. Excellentissime.

Something To Say : Le reggae roots est au menu sur ce morceau. La mélodie répétitive se laisse écouter mais n’est pas autant entrainante que le reste des morceaux de l’album. Il n’en reste pas moins à la hauteur du reste de l’album.

Street Lack Love : On détient ici un potentiel single. Excellent, troublant, entrainant, il est tentant d’utiliser les superlatifs pour décrire Street Lack Love. Nneka a de l’avenir et elle le prouve définitivement ne serait ce qu’a travers ce morceau aux accents Afrobeats, et Hip Hop une fois de plus, le Hip Hop étant très présent sur cet opus. La corruption, la pauvreté, les conditions difficiles de vie, autant de maux persistants dans ce monde où il n’y a ni amour ni cœur comme elle ne le dit si bien et contre lesquelles elle se doit de nous interpeller. Définitivement notre coup de cœur, à écouter, réécouter et méditer…


Niger Delta : Nneka s’essaye aux percussions africaines dans Niger Delta dans lequel elle appelle à la solidarité entre peuples dans la lignée de Suffri.


From Africa : Le Makossa, danse et chant de l’Afrique de l’Ouest, notamment du Nigeria dont elle est originaire est à l’honneur dans ce morceau joyeux qui invite au voyage. On apprécie l’éclectisme et la fraicheur des pays d’Afrique présents sur ce qu’on ne saurait qualifié qu’ autrement qu’ambiancé.


Running Away : C’est un morceau fort, puissant en connotations, dans lequel la chanteuse aborde au détour d’un refrain celui qui se devait la protéger et qui l’a abandonné. Sans doute parle t- elle de son pays natal le Nigéria qu'elle a du quitter brusquement à vingt ans et dont elle tait les raisons. Le mystère demeure donc autour de ce morceau quant à sa portée même s’il au final on s’en lasse rapidement.

Focus : La jeune femme peut paraitre agressive dans ses lyrics, mais comme elle le dit si bien elle même, c’est une manière de faire bouger les choses. Focus est une bombe pleine de sens qui puise sa force dans les influences Rock de Nneka et la portée puissante du Hip Hop. « Stay Focus », tel est le mot d’ordre. Nneka y explique qu’il est important de se fixer des priorités et des objectifs dans la vie; éléments essentiels pour s’accomplir et s’épanouir en tant qu’individu.

Elle nous prouve une fois de plus avec un débit impressionnant qu’il est difficile de la cantonner à un seul genre tant ses influences sont plurielles.

Kangpe: Ballade Folk, ambiante, on apprécie ce morceau aux ondulations électroniques et aux vocalises impressionnantes presque suffocantes en fin de morceau.

Deadly Connection: Une fois de plus, Nneka explore avec délicatesse et dureté les vibrations de l’électro dans un ton africain. Agréable moment de l’album et prouesse instrumental.

No Longer At Ease, tracklist

1.Come
2.Deadly
3.combination
4.Death
5.Focus
6.From Africa 2 U
7.Gypsy
8.Halfcast
9.Heartbeat

10.Kangpe

12.Mind vs heart

13.Niger Delta

14.Running away
15.Something to say
16.Streets lack love
17.Suffri
18.Walking

Chronique by Cathy.

Posted by Publié par Soulmate à 14:19
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"Today's Peace, Yesterday Nightmare ..And Tomorrow promises "

Je vous l' accorde, cela fait un moment que je n' ai rien ajouté...Mais je vais essayer de vous parler de mes coups de coeur plus souvent !

Une fois de plus, pour la sortie de The Dreamer, je vais vous parler de José James..- On n' en parle jamais assez !
A défaut de réecrire dessus, voici ma chronique pour un webzine :

En le signant sur son label, Gilles Peterson nous prouve une fois de plus qu’il à du flair. Les amateurs de jazz sauront apprécier ce premier album, après avoir découvert le single The Dreamer sur le second volume de la compile Broonswoods Bubbler. Mais il n’est pas question de cantonner José James à un seul style, car s’il puise son essence dans le Jazz, il en transcende les barrières avec une facilité déconcertante. A l'heure ou la diversité des genres est à son apogée, José James combine avec subtilité le phrasé Hip Hop, les racines de la Soul et du Jazz, le spleen du Blues & le Drums and Bass.

Méticuleusement enregistré à New York, The Dreamer à été réalisé avec la participation du non moins renommé pianiste Junior Mance, rencontré lors d’une formation de Jazz contemporain qui s’invite le temps de Spirits Up Above. On y trouve également Basement Jaxx et Flying Lotus. Le ton est donné dès le départ avec Love, véritable hymne à l’amour, qui ouvre remarquablement bien l’album par un solo de guitare du meilleur effet. The Dreamer, en référence à la lutte menée par Martin Luther King rend hommage à ses inspirations culturelles et spirituelles. Un morceau excessivement calme, une trompette qui souffle au fond, un piano omniprésent, et la voix suave de José James posée avec douceur. 7 minutes de bonheur dont même les plus réticents aux Jazz sauront se délecter. Sublime. Le rythmé Park Bench People, reprise du quatuor Freestyle Fellowship nuance flow Hip Hop et ambiance jazzy des 90's que José James façonne à sa manière, humblement accompagné d’un piano. Lent et calme à ses débuts, il fini par déborder de force et de passion. L’excellent Blackeyedsusan couple divinement clavier et percussions accompagnant les vocalises soufflées et sensuelles du jazzman. L’album comprend entre autre Winterwind, ballade romantique, mélodie progressive et entraînante, qui, accoudé au bord d’une fenêtre, nous laisserait perdus entre mélancolie et douces rêveries. Un titre dont la simplicité signe le charme. On se laisse tout autant bercer par les cinq autres titres de l’album, le mélancolique Nola, Velvet, Red ou encore Desire.

En phase de s’inscrire dans la continuité des plus grands crooners du jazz, José James revisite avec charisme et de son extraordinaire voix timbrée, le Jazz et le Hip Hop, déposant déjà sa propre signature. Destiné aux amateurs de la poésie de Gil Scott Heron, de la sensibilité de Coltrane et du lyrisme de Terry Callier, The Dreamer est un sans fautes d’ où se dégage force et spiritualité. Avec un album concis et sensuel à souhait, José James nous rassure : Le Jazz est vivant - et plus savoureux que jamais.


Par Cathy.N
Publiée le lundi 2 juin 2008

Chronique

Posted by Publié par Soulmate à 13:56
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